Médiation culturelle

Appartenance et migration

Le Spiegelberg Festival poursuit son engagement contre le racisme à travers un projet centré sur l’appartenance et la migration. En associant personnes migrantes et acteurs locaux de l’intégration, le festival favorise le dialogue interculturel par des ateliers d’écriture et performances scéniques.

Continuité et innovation

Dans la lignée du projet « Boxes » de 2023, le festival continue d’investir l’écriture et les arts vivants avec des créateurs jurassiens de diverses origines. La précédente édition avait permis une réflexion sur l’identité, les souvenirs et les lieux habités.

Partenariats et activités

En collaboration avec l’AJAM, l’association Jura Integraction et avec le soutien du Bureau de l’intégration des étrangers et de la lutte contre le racisme (BI) du Canton du Jura et le Service de lutte contre le racisme (SLR) de la Confédération, cette édition propose :

  • Des ateliers d’écriture avec Laurence Maître et Fanny Wobmann
  • Une lecture performative sur la scène de la Place du Village
  • Un atelier jeunesse animé par la poétesse et romancière syrienne Anisa Roomieh

Quand et où ?

La lecture des textes aura lieu durant le festival, le vendredi 27 juin à 18h sur la scène du Soleil, dans le village du Spiegelberg.

Pour les personnes migrantes: comment participer?

Il y aura trois ateliers d’écriture (obligatoires): 11+13+16 juin, 18h-20h, Café du Soleil à Saignelégier

Il y aura deux ateliers pour préparer la lecture (facultatifs): 17+26 juin, 18h-19h30, Café du Soleil à Saignelégier

Inscription: info@spiegelpergfestival.com ou +41 79 368 76 28

Délai d’inscription : 23 mai 2025

(Possibilité de participer à l’atelier d’écriture mais de ne pas lire le texte durant le festival)

Témoignage d’une personnes migrante participant au projet “Boxes”

« Bien que nous ayons toujours sur nous l’inconvénient d’être un réfugié en général, cette fois, cela ne s’est pas produit. Ne pas payer d’impôts, étant au chômage, notre statut de réfugié nous rend difficile de communiquer avec les peuples autochtones. C’était comme un mur invisible. D’être en position de consommer constamment mais de ne pas produire. Un facteur qui complique cette situation est de ne pas pouvoir s’exprimer. mais nous avons eu l’occasion de nous exprimer avec les images dans les boxes, nous avons produit quelque chose, cela a créé un pont de communication entre nous et de nombreuses personnes. »Participant au projet Boxes en 2023.